« Parmi les différentes formes graphiques du street art, la figure urbaine du tag s’est imposée. Le tag comme signature et non le graff. En traduisant en mosaïque un graff, le risque aurait été d’installer un pur décor mural. Et on sait combien la commande publique a pu connaître des ratés, notamment dans cette vaine transcription en mosaïque de tableaux modernistes. Dans la réflexion contemporaine sur l’art public, l’oeuvre de Nikolas Fouré repose aussi clairement la question des valeurs esthétiques, celles qui sont largement reconnues et celles encore ignorées. » (site web de l'éditeur)
Disponible en format papier seulement.