À la tombée de la nuit, Montréal scintille de mille feux. Le pont Jacques-Cartier, le Quartier des spectacles, la Biosphère et bien d’autres repères urbains bénéficient d’une mise en lumière qui magnifie leur présence dans l’obscurité. La constellation que forment ces illuminations confère à la ville une apparence «magique et féérique». Or, serait-il possible que cet éclat camoufle, voire alimente, une réalité moins séduisante?
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