On assiste depuis quelques années déjà au déploiement de l’intime dans la sphère publique. Non seulement il atteint chacun via les écrans télévisés et les ondes radios mais s’exposent publiquement dans les musées, les galeries, les réseaux publicitaires mêmes. Ce face à face entre le public et la subjectivité de l’autre est emblématique du monde contemporain et s’est d’ailleurs répandu dans les pratiques photographiques et vidéographiques actuelles. Cette publication questionne ce phénomène dans les pratiques de photographes et vidéastes du Québec et du Canada.
Disponible en format papier seulement.