« Pendant une résidence de trois semaines, les artistes se sont intéressés à l'usage que nous faisons des choses et ont travaillé de manière à établir un dialogue constant avec le paysage, tout en s'adaptant à la réalité matérielle du contexte insulaire. Ils ont arpenté le territoire et nourri leurs réflexions de visites et de rencontres pour s'approprier le projet. Ils ont collecté des matériaux et des récits de toutes sortes pour réaliser des oeuvres intégrées à des espaces publics et à des lieux privés. Ces oeuvres se sont greffées au paysage de manière à toucher le plus large public et à enrichir une réflexion collective sur la problématique de la gestion des matières résiduelles. (p.7) »
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